emrys ϟ last chance to lose control.

emrys hale-daniels

C'est seulement quand on a tout perdu qu'on est libre de faire ce qu'on veut.

Bien le bonjour, moi c'est Emrys Hale-Daniels mais on m'appelle plutôt Em'. Depuis 24 ans maintenant, je vis une petite vie plus ou moins tranquille. J'habite à Charlotte depuis 8 années et je m'y plais assez. J'ai eu ma première dent à 6 mois et franchement, c'est un exploit ! Mes parents sont divorcés et j'ai la chance d'être fils unique. Je suis active dans notre société et je joue de la guitare dans un groupe, ça me prend un temps fou. Je suis célibataire. Je vois très bien où est la fontaine et je m'y suis rendu une ou deux fois, surtout pour me moquer des gens qui y pleuraient. Je suis américain et j'ai des origines anglaises. On me dit souvent que je suis observateur, persévérant, à l'écoute et lunatique, libertin et indécis. Je fais beaucoup d'activités dont tout ce qui concerne la musique, je joue de plusieurs instruments et je compose de temps en temps . Je suis plutôt du type Aladdin & Jasmine. Et on me répète souvent que je ressemble à Ben Barnes, vous trouvez vous ?

give all your secrets

Il a une sainte horreur des surnoms. S'il tolère un "Em'" de temps en temps, la façon la plus efficace de retenir son attention, c'est d'utiliser son prénom... Il ne boit jamais d'alcool... Du moins, jamais au point d'en être bourré, mais attention, ce n'est pas une raison pour qu'il se dévoue et ramène tout le monde en fin de soirée. Il n'aime pas particulièrement les animaux, et se méfie des chiens. Il est matinal. Allergique aux fruits de mers et à la "pseudo musique pop qui s'apparente plus à un lavage de cerveau pour ados en chaleur de treize ans", comme il aime appeler la musique actuelle qui passe à la radio. Il n'est vraiment pas un grand romantique, en fait, il ne croit pas du tout à l'amour. Par contre, le sexe, c'est une autre histoire. Emrys est une vraie catastrophe en cuisine. Sérieusement, monsieur est capable de rater des plats à réchauffer au micro-ondes... De ce fait, il connaît des tas d'endroits sympas où manger, où il est client d'or un peu partout, ce qui peut s'avérer pratique, niveau séduction.

tell me what's on your mind

Il y a un adage qui dit qu’on fait toujours du mal à ceux qu’on aime mais il oublie de dire qu’on aime ceux qui nous font du mal..

« Jeune homme, bougez-vous un peu, on ne va pas rester là toute la nuit. » Je cligne des yeux pour chasser les gouttes de pluie qui m'obstruent la vue. L'espace d'un instant, j'hésite à monter dans ce bus. J'hésite à laisser derrière moi ma maison, mes amis, tout ce que j'ai toujours connu, à abandonner tout fragment de souvenir qui a composé ma vie. Oui, pendant une seconde, j'hésite, avant de me rappeler que je n'ai plus de maison, plus d'amis, et que tout ce que j'ai toujours connu n'était qu'un tissu de mensonges. Je n'ai pas de vie, ou tout du moins, celle que je croyais avoir m'a été volée. Alors, sans un regard en arrière, je monte. Le chauffeur me lance un regard méfiant lorsque je lui tend une poignée de billets. Le genre de regard qu'on lancerait à un adolescent trempé jusqu'aux os, l'air un peu perdu et ayant pour tous bagages un vieux sac à dos élimé et une guitare. « Vos parents savent que vous êtes là? » me demande t-il, sans cesser de me fixer intensément. J'ai envie de lui répondre qu'ils n'en n'ont plus rien à faire, mes parents, d'où je suis. J'ai envie de lui dire à quel point je hais ces personnes. J'ai envie de pleurer. Mais je ne le fais pas. Agir ne sert généralement pas à grand chose, mis à part à empirer la situation. Je l'ai appris à mes dépends. « Qu'est-ce que ça peut vous faire ? » Mon ton est un tantinet hargneux, mais je me retiens sérieusement de lui faire subir les ravages de ma colère mal contenue. « J'ai pas envie d'embarquer un gosse qui fugue. » Je hausse les épaules. De quoi je me mêle? « Je monte si j'ai envie, j'ai payé ma place. » Il ne relève pas, et se contente de démarrer.

Cette soirée n'était pas censée se terminer ainsi. Elle avait commencé comme toutes les autres depuis six ans maintenant, mais j'avais décidé qu'elle ne connaîtrait pas la fin que ma mère et moi connaissions. Depuis six ans, nous vivions un enfer, elle et moi. Un enfer que nous cachions habilement sous des mensonges éhontés, des vêtements larges et de nombreuses couches de pommade. Un enfer qui était accessoirement mon beau-père. J'avais particulièrement mal vécu le divorce de mes parents, quand j'avais huit ans. D'accord, mon père était un incapable, incapable de gérer sa vie et encore moins celle de sa femme et de son enfant. Il n'avait rien d'exemplaire, mais il faisait de son mieux. Ils nous aimait. Ma mère m'avait promis que mon beau-père serait aussi bien que lui, quelques années plus tard. Elle m'avait convaincu que j'allais à nouveau connaître toutes les joies et les moments que seuls un père et un fils peuvent partager. Elle m'avait fait croire que j'allais à nouveau recevoir ce qui me manquait le plus, l'amour et la fierté d'un homme à mon égard. Elle m'avait menti, bien sûr. Je fermai les yeux, la tête appuyé contre la vitre, tandis que des bribes de la soirée s'imposaient sournoisement derrière mes paupières closes.

« Putain, j'en peux plus de cette baraque de merde! » Je montai rageusement le son de mon iPod. Mon beau-père venait de rentrer, et avec lui un chapelet de jurons destinés à sa « baraque de merde » ou plus souvent à ce « putain de gosse de merde qui sert à rien d'autre qu'à faire chier. » Autrement dit, moi. De ma chambre, je ne distinguais pas tout ce qu'il se passait, mais j'étais certain qu'il était saoul, une fois pour changer. J'entendis un bruit sourd, suivi d'un grognement. Dans quelques secondes, il n'allait pas tarder à trouver quelque chose qui lui déplairait. Dans quelques secondes, il allait hurler le prénom de ma mère, l'insulter, la traiter d'ingrate. Dans quelques secondes, notre enfer allait débuter. Et moi je restais là, avec du Muse à fond dans mes oreilles, à attendre la fin de ce cauchemar. « Rosalie! Rosalie, arrête de te comporter comme une salope et montre-toi! C'est comme ça qu'on me remercie, hein? Je me tue au boulot pour que toi et ton idiot de rejeton ayez de quoi manger, et moi que dalle, hein? Viens par là, un peu! » Mon regard se posa sur la batte de base-ball que j'avais volée au lycée cet après-midi, me demandant si j'aurais le cran de m'en servir. « Arrête, s'il te plaît! Tu me fais mal! » Je n'arrivais pas à quitter cette batte des yeux. Savoir que cet enfoiré était en train de toucher ma mère me donnait juste envie de vomir.
J'avais pris l'habitude de prendre les coups à sa place. S'il y avait une chose que je n'avais plus pu supporter, c'était de devoir la ramasser, en sang, gisant par terre, en me murmurant qu'elle était désolée. A l'age de treize ans, j'avais tout simplement décidé d'inverser les rôles. J'étais le punching-ball, maintenant. Il ne tenait qu'à moi de d'arrêter ça.... « Arrête! » Il ne m'en fallut pas plus. Les mains crispées sur ma batte, j'ouvris violemment la porte et me précipitait sur lui. Il me vit arriver tout de suite, et lâcha sur le coup ma mère qu'il traînait violemment par les cheveux. « Tiens, Emrys, j'me demandais quand est-ce que le chevalier servant à sa maman allait débarquer. Où sont tes collants, crétin, j'les vois pas? » « Ferme-là. » Il éclata de rire, ce qui ne fit qu'augmenter d'un cran la haine que je ressentais pour lui. « Sinon quoi? Tu vas me buter avec ta stupide batte? Bravo! T'as vu comment t'élèves ton gosse, Rosalie? T'es vraiment qu'une bonne à rien! » Il lui donna un coup de pied, ce qui lui arracha un gémissement de douleur. Le gémissement de trop. Avant qu'il n'ait pu se rendre compte de quoique ce soit, mon arme s'abattait sur son crâne. Brutalement, violemment. J'entendis un hurlement, mais ça ne m'empêcha pas d'arrêter. Un coup, un autre. Sentir le doux son de ses os se brisant sous le manche de bois avait quelque chose de libérateur; et voir son sang maculer le carrelage était pour moi une motivation suffisante pour continuer à le tabasser. Peu importait s'il était déjà inconscient, peut-être même mort. Je voulais le voir souffrir, agoniser. Je voulais le tuer. Quelqu'un m'appelait, on essayait de me tirer, de m'arrêter, mais j'étais sourd, aveuglé par ma frénésie et mes larmes de colère. Je ne pouvais rien faire d'autre que de continuer à marteler le corps inerte à mes pieds.

Et soudain, le choc. J'en fis tomber ma batte, qui roula sur le sol avant de s'immobiliser dans un silence complet, entrecoupé des sanglots déchirants de ma mère. Ma mère, qui se tenait au-dessus de moi avec une poêle à la main. Ma mère venait de me frapper. Avec une poêle. La situation aurait pu paraître comique, mais elle ne l'était pas. « T'es malade ou quoi? Tu vas le tuer! » J'avais beau essayer, je ne comprenais sincèrement pas. Que voulait-elle dire? « C'était ce qu'on voulait non? Être débarrassés de lui. » C'est alors qu'en croisant le regard noyé par les larmes de ma mère que je compris l'étendue du problème. Elle n'avait jamais voulu se débarrasser de lui. Jamais. « Maman, après tout ce qu'il... » « Emrys, sors d'ici. » « Quoi? » « Sors de cette maison. » « Quoi? » « SORS DE CETTE MAISON TOUT DE SUITE! » Ça me fit l'effet d'une claque. Jamais elle ne m'avait crié dessus. Jamais elle ne m'avait regardé ainsi, comme si j'étais un étranger. Jamais je n'aurais cru qu'elle ne me mettrait à la porte. Mais le pire, ce qui me blessait le plus, c'était le fait que malgré tous les coups qu'il lui avait donnés, toutes les blessures qu'il lui avait infligées, les humiliations, les insultes, jamais elle n'avait réagi ainsi avec mon beau-père. « T'as une idée de ce que tu fais Emrys? Tu crois que ça m'amuse cette situation? Je souffre autant que toi! J'en ai marre, marre de vivre dans la violence, de voir que l'homme que j'aime est une brute, tu crois qu'en plus j'ai besoin de savoir que mon fils unique a des pulsions meurtrières? » « Comment est-ce que tu peux dire ça? Si je l'ai fait, c'est avant tout pour toi! Ça fait des années que je prends sur moi, que je reçois ses coups sans broncher, que je me la ferme parce que je sais que t'es trop conne pour le larguer! C'est pour toi que je fais ça, mince! » « Je ne t'ai rien demandé Emrys! Rien du tout! » Elle ferma les yeux, adoptant une expression fermée et sans équivoque qui me donna des frissons. Elle était en train de le choisir. Il l'avait frappée, violentée, insultée, fait de même avec son fils, et elle le choisissait, lui! « J'ai compris. J'me casse. » Elle ne répondit pas. Elle ne me retint pas La seule chose qu'elle fit, ce fut de s'approcher de l'enfoiré en murmurant un « Dieu merci, il respire encore. » qui me brisa le cœur. Littéralement.

Charlotte, Caroline du Nord. La ville où je suis né, l'endroit qui a abrité les quelques années de bonheur que j'avais connues. Je ne reconnais plus grand chose, mais je n'ai pas pour autant perdu mes repères. Je frappe, deux coups, soudain anxieux. Et s'il ne me reconnaissait pas? Et si maman l'avait appelé pour lui dire ce que j'avais fait? Et s'il me jetait dehors, lui aussi? Il est la seule personne qui me restait, la seule sur qui je suis sûr de pouvoir compter. La porte s'ouvre, et mon cœur manque un battement. Son visage est tiré par la fatigue, mais à l'instant où il croise mon regard, j'ai l'impression qu'il s'illumine. « Emrys? » Il sourit. Il est heureux. En voilà au moins un qui ne voit pas en moi qu'un type dérangé avec ses envies de meurtre. « Salut papa. » Je souris à mon tour, tandis qu'il me prend dans ses bras. Il voit en moi un fils, c'est tout. C'est tout ce qu'il me faut.

2 mois plus tard -« Papa, je pense que c'était pas censé donner ça... » « Mais, si! Regarde, ça ressemble un peu à la photo... Un tout petit peu...Non, en fait, non, on s'est trompés quelque part. » Nous observons tous les deux l'espèce de croûte jaune-marron qui fait office de lasagnes. Nous avions pourtant suivi la recette à la lettre, mais il fallait croire que nous n'avions pas vraiment le dieu de la cuisine de notre côté, ce soir. « Bon bah... Pizza? » « Oui... vraiment, où sont les femmes quand on a besoin d'elles? Je donnerais tout ce que j'ai pour une assiette des lasagnes de ta mère, Emrys. » Je me renfrogne, comme à chaque fois que l'on parle de maman. Il ne sait pas pourquoi elle m'a mis à la porte. Je lui ai raconté qu'elle voulait être un peu seule avec son mari, et même s'il n'avait pas cru un mot de mon histoire, il n'a rien dit. Je ne voulais pas qu'il découvre la vérité. Je ne voulais pas trouver en lui la lueur de dégoût et de mépris qui avait motivé ma mère à me jeter dehors. Je voulais qu'il m'aime, et pour cela, je lui mentais. La sonnerie de l'entrée retentit, faisant retomber le malaise qui s'est momentanément levé à sa remarque. J'ouvre, pour me retrouver nez à nez avec deux policiers. « Emrys Hale-Daniels? » Je le sens mal. « Oui? » « Veuillez nous suivre. » Je le sens vraiment très mal. « Vous êtes en état d'arrestation pour tentative de meurtre avec coups et blessures volontaires sur la personne de Bart Daniels. » J'avais raison. Ça ne m'étonne même pas que cet enfoiré ait porté plainte. Je me laisse docilement menotter, en me disant que je ne peux pas tomber plus bas.

2 ans plus tard.- « Bon anniversaire, Emrys. 18 ans, ce n'est pas rien. » J'observe mon père, qui lui contemple paisiblement l'eau de la fontaine. « Merci. » « Tu es sûr que... tu ne veux pas rester vivre avec Susan et moi? » « Non, papa, désolé. J'ai pas envie de revivre ce que j'ai vécu avec Bart. » « Susan n'est pas... » « Je sais. Elle est super pour toi. Vous êtes faits pour être ensemble. » Il soupire, et passe son bras autour de mes épaules, qui ont longtemps supporté le poids du monde. C'est à cet instant que je réalise à quel point j'ai de la chance d'avoir un père comme le mien. Il est maladroit, instable et irresponsable, mais il ne m'a jamais tourné le dos. Il est resté à mes côtés, pendant mon arrestation, mon interrogatoire, ma garde à vue. Il s'est battu pour que je sois innocenté. Il a fait pression sur mon beau-père pour qu'il retire sa plainte. Je ne sais pas comment il s'y est pris - et honnêtement, je ne veux pas le savoir - mais il y était parvenu. Il m'avait rendu la liberté. Il avait rompu tous les liens qui me rattachaient à mon ancienne et cauchemardesque vie, et avait accepté que je trouve une place dans la sienne. Pendant deux ans, il m'avait suivi, soutenu, encouragé ma passion pour la musique, fait en sorte que j'aie un avenir. Et puis, il avait rencontré Susan, une charmante femme. Le coup de foudre. Tout était allé trop vite entre eux, bien trop vite pour que je suive. Je voyais l'ombre de mon beau-père partout, même dans le regard bienveillant d'une femme frisant la cinquantaine et amatrice de cookies. « Je suis fier de ce que tu es devenu, Emrys. » « Ah? Un type qui a manqué de peu de se faire coffrer pour une dizaine d'années? » « Non. Tu es quelqu'un de bien. » « Si tu le dis. » « Je le pense. Et je ne dis pas ça parce que je suis ton père. Si ce que tu as fait à cet enfoiré de première n'était pas justifié, je t'aurais flanqué en taule moi-même. Mais je suis fier de toi. » J'entendis une sorte de trémolo dans sa voix, suivi d'un petit bruit étouffé qui me flanqua littéralement les jetons. « Tu pleures? » « C'est la tradition, mon gars. On pleure dans la fontaine, comme ça, on est assuré de ne jamais avoir le cœur brisé. » « Foutaises. » « Peut-être. Mais peut-être que non. On ne sait jamais ce que le destin nous réserve. Tu es sûr que tu ne veux pas tenter? Même pas pour ton vieux papa? » Je secoue la tête, incrédule. Qui est cet homme, qu'a t-il fait de mon père? « Ok, il faudra que je pense à dire à Susan de ne pas forcer sur la camomille. Ça te fait tout sauf du bien. » Il éclate de rire, et ce son me réconforte. Je me sens chez moi, à ma place. « C'est ça, moque toi fiston. Un jour, tu trouveras quelqu'un qui verra à quel point t'es un chouette gars. » Il me sourit, sincèrement, puis me tend une clé. « Autumn Street, ta nouvelle demeure. Fais pas le con, je sais où te trouver. » « Si c'est une ruse, sache qu' il est foutrement hors de question que je pleure là-dedans. Appart' ou pas.» Il sourit après avoir levé les yeux au ciel. « Même pas une petite larme? »

who are you, really ?!

Holaaaaaaaaaaaaa ;) Je m'appelle Anne-Charlotte, j'ai 16 ans, et j'habite dans le Sud de la France, (oui, oui, là où il fait chaud tout le temps et où les gens ont un accent bizarre) J'aime tellement de choses que je pense qu'on y serait encore si je m'amusais à tout lister... Je suis fan d'Oreos. C'tout ce que vous avez besoin de savoir, haha. Le code, si j'me trompe pas, ça parle de talons et de gucci. J'ai failli casser mon talon, omfg le talon de tes Gucci? Non, celui de mon pied, heureusement. (j'ai rigolé comme une débile devant le règlement. normal.)

HAAAA, je suis trop contente que tu ais décidé de venir nous rejoindre :D Déjà, j'adore le prénom et le nom, je connaissais pas du tout Emrys mais super choix ! Et puis tu as gardé Ben donc je ne peux être qu'heureuse emrys ϟ last chance to lose control. 2176505670

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Bon courage pour ta fiche, si tu as la moindre question même la plus débile qui soit, n'hésite surtout pas, j'aime qu'on me harcèle :D

ENCORE MERCI emrys ϟ last chance to lose control. 2176505670

Comment peut-on résister à Ben, de toutes façons ? (a)

On y résiste pas, on le mange tout cru :D

BIENVENUUUUUUUUUUUUUUUUE ICI emrys ϟ last chance to lose control. 2916653904

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ACCOLA :D
Merci !

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BEN

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bienvenue !

Quel accueil, en plus ya que des belles personnes par ici, j'sens que je vais m'y plaire ;)
Merci (a)

Bienvenue !!!!
Ben emrys ϟ last chance to lose control. 4205929361

Si tu veux te faire violer sur place fis moi signe XD

Invité

Bienvenue parmi nous & bonne continuation pour ta fiche :D

Merci :)

Scarlett N. Barton a écrit:: Bienvenue !!!!
Ben
Si tu veux te faire violer sur place fis moi signe XD

J'aime les relations sexuelles non consenties. :slash:

Sinon, je pense avoir fini ma fiche. Désolée, je vous ai pondu un beau caca pour l'histoire, bonne chance pour lire ça.

J'ai lu ta fiche et j'aime beaucoup emrys ϟ last chance to lose control. 2176505670

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cependant, je laisse Lee-Lou te valider (a).

Merci :)

En plus de ça tu viens de sud de la France (comme moi) et t'es accro aux oreo (comme moi) alors pour les relations non consenties ça va etre obligatoire là, désolé ma Leelou

C'est parfait pour moi, je te valide avec plaisir !

Et je te propose d'or et déjà un rp ensemble emrys ϟ last chance to lose control. 2916653904

Oh ouiiii

Tu pourrais commencer, s'il te plaît? :D

Ca marche :D J'ai une soirée ce soir et je profite un peu de mon amoureux demain, mais je te fais ça dans le week-end :)

Quand je dis que je suis toujours trois plombes en retard, c'est bien vrai ! Rolling Eyes

Ceci dit, bienvenue quand-même !! emrys ϟ last chance to lose control. 4159967376

emrys ϟ last chance to lose control. 1001172573

Ok Lou :)
Merci, Sophie (a)

» EMRYS ⱷ show me your teeth.
» intrigue numéro une ◐ Emrys et les minettes.
» EMRYS&LEE-LOU ϟ « J’aimerais être un flan... un flan aux abricots... »

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