AARON & JUDITH ♧ oui, au moins, c'est clair.

« what if you just let me do what i want with your body ?» -

Ce soir là, Judith voulait sortir. Depuis déjà trois jours, elle dansait tous les soirs au club et elle commençait à en avoir un peu marre. Elle avait l'habitude de toujours faire des petites périodes mais cette semaine là, elle avait des factures en trop à payer. Du coup, pas question de chômer ! Mais ce soir là, non, elle voulait juste trouvé un riche garçon pour lui payer des verre et peut-être même finir dans un bel hôtel ou un bel appart. Donc, ce soir, c'était le soir de la plus belle robe - et aussi la plus courte, pour pouvoir plaire à tous les garçons. Arrivé à la soirée, Judith se sentit parfaitement à sa place, ses talons de dix centimètres et sa robe de dix centimètres aussi faisait d'elle une des plus belles filles de la soirée et, en passant au vestiaire posé ses affaires, déjà deux garçons lui avait adressé un "tu ne veux pas venir avec moi que je te paye un verre ? " du coup, elle le savait. Cela allait être une très bonne soirée. Très vite, la jolie brune se mit à danser sur la piste et ne mit pas très longtemps à repérer le mec de ses rêves. Il était au bar et avait cet air de mauvais garçon que Judith aimait trop, c'était le mec parfait. Du coup, sans même cherche plus loin, la jolie jeune femme se rapprocha de lui et n'attendit pas très longtemps avant de lui jeter un regard des plus sexy, faisant balancer ses cheveux sur le côté. « Salut. Je m'appelle Judith, et toi ? » c'était une approche ridicule mais avec la sexyness de Judith, c'était quand même très excitant !

→ JUDITH & AARON« Toute vie véritable est rencontre. » Skinny.lOve

Si, les gentils petits enfants ont fermé leurs paupières, et se sont glissés dans leur pyjama en coton, sous leurs édredons roses, puis se sont laissés séduire par la douceur de Morphée, ce dieu grec qui nous emporte chaque nuit vers de lointaines contrées. Cela n'est pas le cas d'Aaron, poussant le battant de la porte du Queen City Lounge, ce dernier se faufile dans la grande salle, la chaleur le prenant au visage. Une ambiance agréable et animée l'emporta aussitôt, sans qu'il ne demande quoique ce soit. La lumière est tamisée, et tout le monde est savamment habillé. Devant lui se dresse un grand bar en bois, il profita pour s'asseoir sur un des tabourets. Les places étaient plus ou moins occupées. Certains tabourets demeuraient désespérément vides, à la recherche d'un client assoiffé. Notre jeune chirurgien commande une vodka, le verre aussitôt posé devant lui, aussitôt bu. Les minutes défilent et notre jeune homme est toujours cloué au bar malgré les nombreuses propositions venant des filles pour aller danser. Combien de fois a-t-on pu entendre cette phrase : "Je ne sais pas danser" dans la bouche d'une personne qui refuse de se lever de sa chaise pour bouger sur la piste de danse ? C'est une manière de faire comprendre à sa interlocutrice, qu'il n'est pas du tout intéressé par cette dernière. Alors que la soirée est très bien entamée, Aaron laisse claquer sur le bar son énième verre de shooter vide tout en lâchant un soupire, il se laisse caler un peu plus contre le dossier du tabouret, il distinguait le barman le regardant étrangement avant de poser devant lui un verre de whisky rempli à ras bord avec de la glace pilée. Quoi qu'il en soit, il avale le liquide précieux d'une traite. La chaleur commence doucement à monter, le peu de tissus recouvrant son corps était semblable à porter une laine en plein été, ses mains allèrent s'écraser contre son visage bouillant qu'il essuyait machinalement. De temps en temps, il scrutait les alentours du regard de façon à ne pas perdre de vue celles qui l'intéressent. Mais une voie l'interpelle lorsqu'un « Salut. Je m'appelle Judith, et toi ? ». Le regard d'Aaron se posa sur la jeune femme, personne ne pouvait dire le contraire, c'était une déesse, mais la façon dont elle était habillée n'était pas pour refaire le monde devant un verre, cela se voyait elle cherchait autre chose. En soirée lorsqu'il y'a de la musique, il est plus difficile de parler et donc de déballer son baratin. Si le volume sonore est vraiment trop élevé, Aaron tente tout de même une tentative d'approche verbale. Alors il s'approche de la jeune femme de manière à lui murmurer quelques mots à l'oreille, son visage avait effleuré celui de cette fille, il a pu sentir que sa peau était si douce, mais il ne put s'empêcher de lui souffler : « Ecoutes Judtih, il faut savoir que les femmes sont comme le métro. T'en rates une, une autre arrive dans les cinq minutes. A moins que ce soit la fin de la nuit comme maintenant et alors tu as n'importe quoi. » Puis mister Grayson, recula tout en ayant un sourire narquois. Oui, notre jeune brun est loin d'être parfait, il préfère se cacher sous une carapace dont il y a que le négatif qui en ressort. Néanmoins il avait du mal à contenir son attention envers elle, à diriger son regard ailleurs que sur ce bout de femme. Elle a ce regard mystérieux où il se serait noyé, mais Aaron ne voulait pas tomber dans ce piège. Alors il lui offre une coupe de champagne tout en lui disant : « Tiens, prends ce verre, maintenant vas t'amuser ailleurs » Grayson trempa ses lèvres dans son verre de whisky tout en détachant son regard de cette femme.

AARON & JUDITH ♧ oui, au moins, c'est clair.

« what if you just let me do what i want with your body ?» -

« Ecoutes Judtih, il faut savoir que les femmes sont comme le métro. T'en rates une, une autre arrive dans les cinq minutes. A moins que ce soit la fin de la nuit comme maintenant et alors tu as n'importe quoi. » Sur le coup, Judith ne comprit pas. Face à elle, un homme avec des traits fins, un nez superbe était en train de .. l'envoyer chier ? Ce genre de choses n'arrivaient vraiment pas souvent. Même jamais. Du coup, Judith plissa les yeux et regarda l'homme, se posant des questions avec son regard. « Tiens, prends ce verre, maintenant vas t'amuser ailleurs » Judith faillit s'étouffer avec sa propre salive. Elle attrapa le verre et, d'un air vexé s'éloigna du beau brun. Cependant, après avoir pris deux gorgées, elle se mit à le reregarder. Pourquoi lui avait-il dit ça ? C'était du grand n'importe quoi, avait-elle un truc sur la tête. Pas qu'elle sache. Du coup, déterminée et obstinée à l'idée de savoir ce qu'il se trâmait vraiment derrière cette histoire, la jolie jeune femme en remit une couche et se retrouva une fois devant le beau jeune homme, les seins en avant. « Je ne suis pas le genre de fille qui abandonne, et je ne vais pas m'en excuser. » S'asseyant à côté de lui, Judith était prête pour camper sur ses positions. « Alors dis moi, qu'est ce qui t'as dégoûté des femmes ? » Le sourire de Judith était irrésistible, mais quelque chose lui disait que cela n'allait pas suffire !